Le 4 février dernier, c’était la Journée Mondiale contre le cancer. Et pour des milliers (voire des millions) de personnes, cette journée n’en est qu’une de plus où il faut tenir tête au cancer. Une de plus jusqu’au prochain traitement, une de plus sans pouvoir aller travailler, une de plus à accompagner un proche…
Entre l’urgence de se faire diagnostiquer la maladie le plus tôt possible et celle de commencer un traitement aussitôt le diagnostic tombé, la plus grande urgence pourrait bien être celle de changer notre vision du cancer.
Les lois biologiques et le cancer
Bien des gens reconnaissent que leurs émotions peuvent avoir un impact sur leur santé. On associe naturellement un eczéma à une période de stress par exemple. Il est toutefois plus difficile de concevoir qu’il puisse en être de même pour une maladie plus grave, comme le cancer. Pourtant, les lois biologiques nous permettent, avec une précision déconcertante, de faire le lien entre nos maladies et nos émotions, et le cancer n’est pas exclu de cette logique.
Avec l’aide d’un intervenant en lois biologiques, il est possible d’identifier le stress qui a causé notre cancer et d’agir sur ce dernier, par un travail de reprogrammation de l’inconscient.
Les statistiques sur le cancer là-dedans?
Les statistiques, on les connaît. On nous les passe et les repasse durant nos programmes préférés et on en placarde les murs des espaces qui nous entourent à tour de bras.
« Aujourd’hui, 221 Canadiens succomberont à un cancer, comme c’est le cas chaque jour. »
« 565 Canadiens apprendront dimanche qu’ils sont atteints par cette maladie. »
« Près d’un Canadien sur deux recevra un diagnostic de cancer au cours de sa vie… » (1)
Sauf votre respect, a-t-on vraiment besoin de connaître tous ces chiffres? Ce ne sont certainement pas eux qui vont nous permettre de retrouver la santé, au contraire. Bien que les campagnes de sensibilisation aient un but très louable, elles créent un stress qui peut lui-même être à l’origine de certaines maladies. En effet, dans l’angle des lois biologiques, la peur d’avoir un cancer ou la peur de mourir du cancer peuvent être des stress à l’origine du cancer lui-même. Pas facile à concevoir ça, n’est-ce pas?
Et les traitements?
Nous savons qu’il existe des traitements contre le cancer. Et ces traitements ont fait leurs preuves maintes et maintes fois. Ils sont in-dis-pen-sables. Il est toutefois possible d’ajouter à ces traitements une démarche centrée sur les lois biologiques, afin d’en augmenter l’efficacité. L’approche centrée sur les lois biologiques est une approche sécuritaire qui se pratique parallèlement à tous les traitements recommandés par la médecine.
Elle peut représenter un puissant allié aux soins prodigués par les médecins.
Il est difficile de changer sa vision de la maladie et de défaire toutes les croyances qu’on a accumulées au cours d’une vie. Et il est encore plus difficile de concevoir que la maladie n’est pas une malchance, mais qu’elle provient plutôt de quelque chose qu’on a vécu. Pourtant, avec une telle prise de conscience viennent des possibilités qu’il devient impossible d’ignorer.
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Mélanie Marion
Rédactrice
(1) Les statistiques nous proviennent de l’article « 4 février : Journée Mondiale contre le cancer » publié dans Métro par la Presse Canadienne.